QUI SOMMES-NOUS ?
Membres étudiant.e.s de 2e cycle
Allard-Cobetto, Pénélope
Pénélope Allard-Cobetto est candidate à la maîtrise en sexologie à l’Université du Québec à Montréal (concentration recherche-intervention) sous la direction de Martine Hébert et Mylène Fernet. Titulaire d’un baccalauréat en criminologie (spécialisation intervention), les intérêts de recherche de Pénélope portent sur les expériences de victimisation et les initiatives de prévention liées à la violence interpersonnelle chez les enfants, les adolescents, les adultes, et la violence familiale, ainsi que les liens entre la pratique et la recherche. Celle-ci est récipiendaire d’une bourse du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) ainsi qu’une bourse du Fonds de recherche société et cultures (FRQSC). Actuellement, Pénélope est coordonnatrice de recherche pour la Chaire interuniversitaire Marie-Vincent sur les agressions sexuelles envers les enfants ainsi que la Chaire de recherche du Canada sur les traumas interpersonnels et la résilience, en plus de s’impliquer au sein du Laboratoire d’études sur la violence et la sexualité.
Cauia, Diana
Diana Cauia, actuellement à la maitrise professionnelle en ergothérapie à l'Université de Montréal, dirigée par Carolina Bottari, Ph.D., professeure titulaire à l'École de réadaptation. Je travaille actuellement sur un projet qui explore comment l'ergothérapeute peut contribuer au suivi des femmes victimes de violence conjugale et qui sont hébergées en MH2 avec leurs enfants dans un contexte d'implication de la DPJ.
Chancogne, Zélie
Zélie Chancogne est à la maitrise recherche-intervention en sexologie de l'Université du Québec à Montréal. Son projet de mémoire porte sur l'expérience de violences gynécologiques au Québec, avec une exploration des répercussions et des stratégies d'adaptation potentiellement mises en place par les personnes qui en ont vécu. Elle détient un baccalauréat en psychologie de l'université Lyon 2 (France). Ses principaux intérêts de recherche se portent autour de la santé et des traumas gynécologiques, de la sexualité, du féminisme et de la psychologie. Elle est également intervenante psychosociale auprès de femmes en situation de vulnérabilité.
Cribb, Mélissa
Mélissa Cribb est candidate à la maîtrise en travail social à l’université du Québec à Chicoutimi sous la direction de Catherine Flynn et d’Ève Pouliot. Son projet de mémoire porte sur l’expérience de la maternité de femmes qui ont vécu des situations d’itinérance et de violence conjugale. Elle détient un baccalauréat en travail social de l’Université du Québec à Rimouski. Ses principaux intérêts de recherche sont les violences faites aux femmes et l’itinérance. Depuis plusieurs années, son parcours professionnel l’a amené à s’impliquer dans différents groupes de femmes dans la région de Québec comme intervenante et chargée de projet ainsi que dans des projets de recherche à titre d’étudiante-chercheuse et d’agente de recherche.
Dallaire-Tellier, Bryan
Bryan Dallaire-Tellier est candidat à la maîtrise en psychoéducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières sous la direction d’Estibaliz Jimenez. Son projet de mémoire porte sur le dépistage, les besoins des intervenant.e.s et l’intervention en regard des violences basées sur l’honneur (VBH) en milieu collégial. Il détient un baccalauréat en psychoéducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Ses principaux intérêts de recherche sont les violences basées sur l’honneur et la violence conjugale. Il est également membre étudiant du Laboratoire Éducation et Diversité en Région (LEDIR) et assistant de recherche au Centre international de criminologie comparée (CICC). Il travaille également comme agent de recherche pour La Séjournelle, une ressource d'aide et d'hébergement qui vient en aide aux femmes et aux enfants victimes de violence conjugale.
Dessureault Pelletier, Maude
Maude Dessureault Pelletier est candidate à la maitrise en travail social de l’Université du Québec à Chicoutimi sous la direction de Catherine Flynn et Ève Pouliot. Son essai porte sur Le renforcement et l’harmonisation des pratiques d’aide pour les femmes qui présentent des conséquences de l’exploitation sexuelle au CALACS du Saguenay. Elle/Il détient un baccalauréat en plein air et tourisme d’aventure et un certificat en environnement de l’UQAC. Ses principaux intérêts de recherche sont les violences faites aux femmes. Elle a travaillé pendant presque 10 ans comme intervenante en maison d’hébergement auprès des femmes et des enfants victimes de violence conjugale et se spécialise depuis 5 ans au CALACS du Saguenay à contrer les violences sexuelles notamment l’exploitation sexuelle des femmes et des adolescentes.
Forand, Cassandra
Cassandra Forand est candidate à la maîtrise en travail social de l'Université de Moncton sous la direction de Lise Savoie. Son projet de thèse porte sur la compréhension de l'expérience des femmes qui vivent en situation de pauvreté et qui ont des problèmes de santé mentale avec l'aide informelle et les services d'aide formels. Elle détient un baccalauréat en psychologie de Mount Allison University. Ses principaux intérêts de recherche sont la violence envers les femmes, la santé mentale et la pauvreté. Elle est également assistante de recherche sur plusieurs projets à l'Université de Moncton en travail social et en criminologie.
Gendron, Catherine
Je suis candidate à la maîtrise en service social à l’Université Laurentienne. Mon projet de mémoire de maîtrise est sous la direction d’Isabelle Côté (Université Laurentienne) et de Simon Lapierre (Université d’Ottawa). Dans le cadre de ce projet de recherche, j’ai été récipiendaire de la Bourse de maîtrise des études supérieures de l'Ontario (BESO). Ce mémoire de maîtrise porte sur les mécanismes d'occultation de la violence conjugale en intervention : étude exploratoire des déploiements de ces mécanismes lors d'une formation à la protection de la jeunesse au Québec. Cette étude explore quels sont les principaux mécanismes d’occultation de la violence conjugale employés par les intervenant.e.s en protection de la jeunesse au Québec et documente si la formation au modèle Protection des enfants en contexte de violence conjugale (PeVC) permet d’atténuer leurs utilisations. Toujours dans le champ d’étude des sciences sociales, je détiens un baccalauréat en service social avec mention Magna Cum Laude ainsi qu'un certificat en intervention auprès des femmes de l'Université Laurentienne.
Depuis 2022, je suis associée de recherche auprès de la Dre Isabelle Côté et du Dr Simon Lapierre et je participe activement à une étude exploratoire qui vise l’étude des retombées des programmes d’intervention destinés aux auteurs de violence conjugale au Québec, selon la perspective de leur conjointe ou ex-conjointe.
En tant que membre du Collectif de recherche féministe anti-violence (FemAnVi) depuis 2023, j’ai un intérêt marqué pour la recherche appliquée, les collaborations et les activités de lutte contre la violence conjugale impliquant des chercheur.e.s, des intervenant.e.s, des militant.e.s et des victimes de violence conjugale.
Finalement, ayant étudié dans un contexte de minorité francophone dans le nord de l’Ontario, je suis également sensibilisée à l’importance de continuer à promouvoir la recherche en français accessible dans toute la francophonie canadienne. En ce sens, je suis membre du Conseil d'administration de l’Acfas-Nouvel-Ontario et membre du comité pancanadien de l’Acfas depuis septembre 2023.
Godin, Julie
Julie Godin est candidate à la maitrise en travail social de l’Université du Québec à Chicoutimi sous la direction de Catherine Flynn. Son projet de mémoire porte sur la perception des femmes atteintes de fibromyalgie dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean concernant les conditions nécessaires à leur participation sociale. Elle détient un baccalauréat en travail social de L'université du Québec à Chicoutimi. Ses principaux intérêts de recherche sont les violences faites aux femmes, particulièrement la grossophobie, le capacitisme et les violences sexuelles. Elle est également récipiendaire d'une bourse à la maîtrise en recherche du FRQSC et d'une bourse d'études supérieures du Canada à la maîtrise du CRSH.
Lahaie-Gagnon, Justine
Justine Lahaie-Gagnon est actuellement à la maitrise recherche-intervention en sexologie de l'Université du Québec à Montréal, dirigée par Mylène Fernet et Martine Hébert et travaille sur un projet de mémoire sur l'évaluation d'une formation visant à outiller les membres de la communauté collégiale face aux violences en contexte de relation intime. Titulaire d'un baccalauréat en sexologie de l'Université du Québec à Montréal, ses principaux intérêts de recherche sont l’éducation à la sexualité, les violences interpersonnelles et la promotion des relations saines et égalitaires. Elle est également engagée dans différents projets de recherche du Laboratoire d’études sur la violence et la sexualité.
Lalancette, Samuelle
Samuelle Lalancette est candidate à la maîtrise recherche-intervention en sexologie à l’Université du Québec à Montréal sous la supervision de Martine Hébert et Mylène Fernet. Son projet de mémoire porte sur l’évaluation d’une campagne socionumérique de sensibilisation aux violences en contexte de relations intimes auprès des jeunes de niveau collégial. Elle détient un baccalauréat en psychologie de l’Université de Montréal et ses principaux intérêts de recherche portent sur les traumas interpersonnels subis à l’adolescence, plus particulièrement les violences dans les relations intimes et amoureuses des jeunes.
Lévesque, Christophe
Christophe Lévesque termine actuellement sa maîtrise en études et interventions régionales à l’Université du Québec à Chicoutimi. Dirigé par Catherine Flynn, il travaille sur un projet de mémoire axé sur la conception et l’articulation de la posture d’allié féministe dans la lutte aux violences faites aux femmes en contexte régional. Titulaire d’un baccalauréat en psychologie, ses principaux champs d’intérêt de recherche concernent les violences faites aux femmes, la pauvreté et l’exclusion sociale et les mouvements sociaux. Il enseigne également au niveau collégial dans un programme d’AEC en intervention sociale, en plus de collaborer à certains cours universitaires portant sur l’analyse des problèmes sociaux, l’analyse des mouvements sociaux et l’intervention collective en travail social.
Maurice, Marie-Noëlle
Marie-Noëlle Maurice est candidate à la maitrise en travail social de l’Université du Québec en Outaouais. Son projet de mémoire/thèse porte sur l’expérience de relation d’aide des mères victimes de violence conjugale dans le cadre de l’intervention de la protection de la jeunesse. Elle détient un baccalauréat bidisciplinaire en psychologie/sociologie de l’Université de Montréal. Elle est également directrice de l'Institut PEVC (Protection des enfants en contexte de violence conjugale).
Moran-Novash, Jade
Jade Moran-Novash est candidate à la maitrise en sexologie profil recherche-intervention de l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Mylène Fernet et de Martine Hébert. Son projet de mémoire porte sur l'évaluation des effets d'activités de sensibilisation aux violences en contexte de relations intimes en milieu collégial. Elle détient un baccalauréat en psychologie de l'Université du Québec à Montréal. Ses principaux intérêts de recherche sont l'éducation à la sexualité, la prévention de la violence en contexte de relations intimes ainsi que la promotion de relations saines et égalitaires. Elle est également auxiliaire de recherche pour le projet Tomosynthesis Mammographic Imaging Screening Trial (TMIST) sur le dépistage du cancer du sein.
Parmentier, Elany
Elany Parmentier est candidate à la maitrise en sexologie de l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Mylène Fernet (Ph.D) et de Martine Hébert (Ph.D). Son projet de mémoire porte sur l'évaluation de l'implantation d'un programme visant à prévenir les violences dans les relations intimes chez les étudiant.e.s des cégeps québécois. Elle détient un baccalauréat en psychologie de l'Université du Québec à Montréal. Ses principaux intérêts de recherche sont la violence entre partenaires intimes, la victimisation sexuelle et la gestion de conflits. Elle est également auxiliaire de recherche au laboratoire d'études sur la violence et la sexualité.
Piché, Estelle
Estelle Piché est candidate à la maîtrise en sexologie de l’Université du Québec à Montréal sous la co-direction de Martine Hébert et Mylène Fernet. Son projet de mémoire porte sur le développement d’un outil d’intervention sexologique ciblant le sentiment d’auto-efficacité des parents dans la prévention de la violence dans les relations amoureuses des adolescent.es. Elle détient un baccalauréat en psychologie de l’Université de Montréal. Ses principaux intérêts de recherche sont la prévention de la violence en contexte de relations intimes ainsi que la promotion de relations positives et égalitaires chez les jeunes. Elle est également intervenante psychosociale chez Tel-Jeunes et la Ligne-Parents, ainsi qu’auxiliaire de recherche pour la chaire de recherche du Canada sur les traumas interpersonnels et la résilience et participe également à l’animation des ateliers en classe du Programme Étincelles pour les jeunes du secondaire.
Volpé, Catherine
Catherine Volpé est titulaire d’un baccalauréat en criminologie et d’un Juris Doctor de l’Université de Moncton. Elle est présentement stagiaire avec le Barreau du Nouveau-Brunswick et est en train de faire des démarches pour son admission à titre de doctorante en criminologie. Ses principaux intérêts de recherches portent sur les besoins des victimes de violences sexuelles et de violences entre partenaires intimes au sein du système judiciaire pénal canadien ainsi que la justice réparatrice.