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QUI SOMMES-NOUS ?

Co-chercheur.e.s partenaires des milieux de pratique du Québec

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Alliance des maisons de 2e étape pour les femmes et enfants victimes de violence conjugale
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Représentée par Hayfa Ben Miloud

Dans un esprit de concertation, l’Alliance regroupe et représente les maisons d’hébergement de 2e étape qui offrent aux femmes, avec ou sans enfants, des services spécialisés en violence conjugale postséparation par l’entremise d’unités d’hébergement transitoires et sécuritaires.

Titulaire d’un double diplôme en psychologie et en gestion de projets, Hayfa Ben Miloud dispose d’une expérience internationale de plus de 10 ans dans la défense des droits des personnes vulnérables. Elle a géré des projets auprès des femmes victimes de violence conjugale et de leurs enfants en vue de leur autonomisation et insertion socioprofessionnelle. Elle a occupé des postes de nature transversale, ce qui lui a permis d’avoir une compréhension rapide des enjeux sociopolitiques des problématiques gérées. Depuis octobre 2021, elle a rejoint l’équipe de l’Alliance MH2 et occupe le poste de coordonnatrice du volet Intervention, Recherche et Formation. Elle siège sur plusieurs comités de recherche et a collaboré dans la rédaction d’articles et de projets portant sur l’intervention auprès des femmes et des enfants victimes de violence conjugale. À travers son poste à l’Alliance, elle contribue au soutien des maisons d’hébergement de 2e étape au Québec ainsi qu’au transfert et développement des connaissances et des approches d’intervention en violence conjugale postséparation.

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Association québécoise Plaidoyer-Victimes (AQPV)

Représentée par Marie-Christine Michaud

L’Association québécoise Plaidoyer-Victimes (AQPV) a pour mission de défendre et promouvoir les droits et les intérêts collectifs des victimes d’actes criminels en agissant auprès d’elles, de leurs proches, des intervenants et des décideurs par des activités de représentation, d’information, de formation et de mobilisation sociale.

Après une première carrière de plusieurs années dans les communications à titre de productrice de films publicitaires et de recherchiste télé, Marie-Christine Michaud est retournée aux études à l’École de criminologie de l’Université de Montréal où elle obtient un baccalauréat en criminologie, orientation intervention, ainsi qu’un microprogramme de deuxième cycle en intervention criminologique. Passionnée par la victimologie et les communications, elle fait une courte incursion au Service correctionnel du Canada comme agente de libération conditionnelle en communauté et comme agente de liaison et intervenante du CAVAC au sein de la Section des crimes majeurs du SPVM. Elle devient par la suite la porte-parole et coordonnatrice du Réseau des CAVAC pendant près de 5 ans, ce qui l’a amené notamment à informer et sensibiliser la population sur les réalités des personnes victimes lors d’entrevues ou d’émissions, en plus de participer à la rédaction de mémoires qu’elle a présentés avec des collègues lors de Commissions parlementaires. Madame Michaud a par ailleurs siégé sur des comités provinciaux portant sur différents enjeux touchant les personnes victimes comme le Comité d’examen des décès liés à la violence conjugale ou encore, Trajetvi. Depuis 2023, elle poursuit ce qui lui tient à cœur, soit de mettre la lumière sur les besoins, droits et recours des personnes victimes en tant que responsable des communications et de la mobilisation à l’Association québécoise Plaidoyer-Victimes (AQPV).

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Centre de documentation sur l'éducation des adultes et la condition féminine

Représentée par Lise Chovino

Dans une perspective de démocratisation des connaissances, de transformation sociale, de reconnaissance du droit à l'information, de valorisation du patrimoine documentaire communautaire canadien et québécois et d'inclusion de toutes et tous dans la société de l’information, le Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine constitue un carrefour d'échanges et un espace d'expression qui a pour fonction de collecter, de diffuser, de promouvoir et de rendre accessibles, en français, les savoirs et les savoir-faire à tous les milieux de l'éducation, de la formation et de l’alphabétisation des adultes ainsi qu’à tous les milieux de la condition des femmes du Québec et des communautés francophones du Canada.

 

Lise Chovino met ses nombreux centres d’intérêt à profit dans des projets abordant des thématiques variées en lien avec le numérique. Elle s’implique notamment dans le développement de formations et de projets concernant : la sécurité et confidentialité, l’éthique et la justice numériques, la technopédagogie, l’empowerment technologique des femmes. Elle collabore depuis 2017 avec les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale afin de créer des formations et outils pratiques sur les enjeux de confidentialité et de sécurité numériques. Son approche : modéliser et mettre en pratique une réponse technologique compréhensive des enjeux vécus en contexte de violence conjugale.

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Fédération des maisons d’hébergement pour femmes

Représentée par Mylène Biguaouette

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Dans une perspective féministe de lutte contre les violences faites aux femmes, la Fédération regroupe, soutient et représente des maisons d’hébergement dans un but de promotion et de défense des droits des femmes violentées et de leurs enfants.

 

Détentrice d’un baccalauréat en psychoéducation, Mylène Bigaouette a travaillé pendant plus de sept ans à la lutte contre les violences envers les femmes en Afrique de l’Ouest. Impliquée dans le milieu féministe depuis de nombreuses années, elle a notamment travaillé à la Table de concertation de Laval en condition féminine et œuvre maintenant à la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) depuis 2015. Dans le cadre de ses fonctions de Coordonnatrice liaison et formation à la FMHF, elle est responsable des dossiers liés à l’intégration de l’intervention féministe intersectionnelle dans les maisons d’hébergement et à l’intervention auprès des enfants vivant en contexte de violence conjugale.e. Elle veille également au suivi et collabore à la réalisation des projets de recherche dans lesquels la FMHF est impliquée. Mylène Bigaouette a contribué à différentes publications dont l'ouvrage collectif Les femmes changent la lutte: au coeur du printemps québécois (les éditions du remue-ménage, 2013) qu'elle a co-dirigé.

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L'R des centres de femmes du Québec

Représentée par Stéphanie Vallée

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Ce Regroupement a été nommé L’R parce qu’il consiste en une aire (R) pour les centres de femmes, c’est-à-dire un espace qui appartient aux centres. C’est aussi un Réseau dans lequel les centres de femmes se concertent, de sorte qu’arrive l’ère (R) pendant laquelle les femmes auront enfin tout l’air (R) dont elles ont besoin. Donnez-moi de l’oxygène ! comme le dit si bien la chanson de Diane Dufresne. Tout un programme !

 

Stéphanie Vallée est à la permanence de L’R depuis octobre 2020. Travailleuse de longue date dans quelques centres de femmes de la région de Lanaudière, elle a toujours été proche du regroupement en s’impliquant tantôt au comité vie associative, tantôt sur le Coco ainsi qu’au comité exécutif comme vice-présidente puis comme présidente de L’R. L’approche féministe en intervention en violence faite aux femmes est la pierre angulaire de ses vingt années d’expérience en tant qu’intervenante communautaire dans les centres de femmes. Elle croit fermement que la fin des violences faites aux femmes passera par la complémentarité des services aux femmes victimes de violence, dont les centres de femmes font partie.

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Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale
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Représentée par Louise Lafortune

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Regroupement québécois des Centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)
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Le Regroupement québécois des centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS) est un organisme féministe à but non lucratif qui rassemble des Centres d’aide et de lutte du contre les agressions à caractère sexuel à travers le Québec. La mission du regroupement est de combattre les violences sexuelles par une approche féministe intersectionnelle, en offrant des services d'accompagnement, de soutien, et d'écoute aux survivantes. Le RQCALACS se concentre également sur la sensibilisation, l’éducation, et la prévention, en plus de défendre les droits des survivantes et de lutter contre les injustices et les inégalités de genre qui sous-tendent les violences sexuelles.

 

Ikram Khiari responsable des enjeux politiques et juridiques au RQCALACS. Formée en science politique et en communication, elle détient une expérience solide dans les milieux communautaires, publics et privés. Son parcours lui a permis de collaborer étroitement avec des partenaires gouvernementaux, renforçant sa compréhension des dynamiques institutionnelles et de la machine gouvernementale. Son expérience dans le milieu communautaire lui a également permis de soutenir la création de projets visant à soutenir les jeunes et les femmes en situation de handicap. Dans le cadre de ses fonctions, elle se consacre à la justice sociale et à la défense des droits des femmes et des filles, en mettant l’accent sur la perspective intersectionnelle.

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Représentée par Ikram Khiari

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Relais-Femmes

 
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Relais-femmes est un organisme féministe de liaison et de transfert de connaissances qui fait de la formation, de la recherche et de la concertation. Relais-femmes œuvre à la transformation des rapports sociaux dans une perspective de développement et de diffusion de nouveaux savoirs et de renouvellement des pratiques.

Passionnée d’intervention, de défense de droits et animée par des valeurs de justice sociale, de solidarité et d’engagement, Marie-Mythzy a plus de 20 ans d’expérience dans le milieu communautaire.  Experte en accompagnement de groupe et création d'espace de réflexion, d'action et de mobilisation, elle a débuté sa carrière en tant qu’éducatrice spécialisée, pour ensuite obtenir un BAC en travail social.  Actuellement, elle poursuit une maitrise de recherche, dans le même domaine, dont le sujet touche les vécus, les résistances et la parole des femmes noires survivantes de violences sexuelles.    À travers ces années d’expériences professionnelles et de militance, elle a travaillé avec plusieurs publics et accompagné des jeunes et des groupes de femmes marginalisés.es issues de différents milieux.  Ces dernières années, Marie-Mythzy s’est orientée vers le milieu communautaire féministe.  Elle incarne et privilégie, de ce fait, l’approche afro-féministe et l’éducation populaire dans tous les aspects de sa vie personnelle, professionnelle et familiale.  Elle souhaite, dans ses multiples implications et projets, contribuer à rééquilibrer les pouvoirs dans notre société et prendre part à la transformation sociale.  Son modus operandi est de prêcher par l’exemple.

« Si les personnes les plus opprimées sont libres, il y a de bonnes chances que l’ensemble du pays devienne libre »  Citation Angela Davis – Université de Concordia, Septembre 2017

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Représentée par Marie-Mythzy Larrieux

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SEP – Service d’Entraide Passerelle

Représentée par Marie Josèphe Pigeon

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Dans une approche féministe de réduction des risques en faveur de l’empowerment  des femmes et des mères vivant une rupture de leur couple, le SEP offre aide et soutien à l’aide de rencontres individuelles, d’informations générales sur le droit familial ainsi que 3 programmes de groupes d’entraide et de soutien (« Mieux vivre ma rupture », « Poursuivre ma route avec mon enfant » et « L’engrenage du contrôle », ce dernier destiné particulièrement aux survivantes de contrôle coercitif . Fondé en 1971 sous le nom de ANO-SEP, le Service d’Entraide Passerelle est un organisme communautaire Famille.

Sherbrookoise de naissance, féministe à l’âge de 15 ans, Marie Josèphe Pigeon a intégré le milieu féministe montréalais en 2011 après plusieurs détours académiques et professionnels.  À la tête du SEP depuis 2013, elle possède la conviction intime de l’utilité de cet organisme pour aider les  femmes, les mères, les survivantes à passer à travers cette transition qu’est la séparation dans une société encore remplie d’inégalités sexistes.  Elle y a développé les 3 programmes d’ateliers qui font la renommée du SEP et continue de rencontrer en individuel quelques centaines de participantes par année.

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